« Dans notre monde, il y a deux sujets fragiles entre tous : l’enfant dans le sein de sa Mère et Jésus dans la petite hostie. » (Mère Teresa)
Chaque année, à l’appel du Pape, nous confions l’un à l’autre dans la prière: l’enfant à naître à Jésus-Hostie. En union avec les centaines de Veillées pour la Vie en France et en Europe, nous inaugurons la nouvelle année liturgique en évangélisant la vie.
Rejoignez-nous l’an prochain, le samedi précédant le 1er dimanche de l’Avent, de 20h30 à 22h
« Nous ne pouvons pas résoudre tous les problèmes du monde, mais n’introduisons jamais le pire problème de tous, c’est-à-dire la destruction de l’amour. Et c’est ce qui se produit lorsque nous disons aux gens de pratiquer la contraception et l’avortement. […] Tout pays qui accepte l’avortement enseigne à ses citoyens non pas à aimer mais à recourir à n’importe quelle violence pour obtenir ce qu’ils veulent. » (sainte Mère Teresa)« J’ai le sentiment que dans tout avortement, il y a deux meurtres, deux assassinats : l’enfant et la conscience de la mère. […] Accrochons nous à Notre-Dame et demandons-lui de nous enseigner sa façon de porter Jésus. Demandons à sainte Elizabeth de nous obtenir une foi profonde. Demandons à saint Jean-Baptiste de tressaillir de joie par amour pour Jésus et de partager cela avec tous ceux que nous rencontrons. » (sainte Mère Teresa)« Si on veut vraiment attaquer le Fils de l’homme, Jésus-Christ, il n’y a qu’un moyen, c’est d’attaquer les fils des hommes. Le christianisme est la seule religion qui dit : « votre modèle est un enfant », l’enfant de Bethléem. Quand on vous aura appris à mépriser l’enfant, il n’y aura plus de christianisme dans ce pays. » (Jérôme Lejeune)« Un jour, tu es né. Personne ne t’a demandé si tu voulais vivre. Mais maintenant tu vis. Parfois, c’est beau. Parfois, par contre, c’est triste. Il y a beaucoup de choses que tu ne comprends pas. Tu vis, mais pourquoi ? Avec tes mains, tu dois aider à mettre de l’ordre dans le monde. Avec ton intelligence, tu dois essayer de distinguer le bien du mal. Avec ton cœur, tu dois aimer les hommes et les aider quand tu peux. Nombreuses sont les tâches qui t’attendent. Et qui attendent tes mains, ton intelligence et ton cœur. » (Rédaction de la bse Chiara « Luce » Badano à l’âge de 7 ans et demi !)
